Il ouvre à gauche,au centre, prend des noirs, des arabes, et parle en plus aux jeunes.
Qui à présent pour parler de son racisme, de son conservatisme, de ses coups de sang? plus grand monde. Le journal Marianne, peut-être. comme si finalement, la campagne présidentielle avait cristallisé pour un temps toutes les frustrations des français.
Retour sur la campagne, où les "antis" avaient leur stratégie pour faire perdre l'un ou l'autre des candidats.
chez les anti sako: la diabolisation
chez les antis-ségo: la décrédibilisation
samedi, juillet 21, 2007
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